Le premier roman dont je voudrais vous parler est 2764 ab urbe condita. Il s’agit d’un roman d’uchronie qui met en scène un Empire Romain qui n’a pas disparu. Au 21e siècle, il unifie la moitié du monde et s’étend de l’Arabie jusqu’à l’Amérique, appelé Caesaria.
Le scénario
Le roman met en scène l’histoire d’une jeune fille, Adaleidis, qui vit dans une province récemment conquise. Elle appartient au peuple des Goths.
Et si l’empire romain n’était pas tombé ?
En 2764 après la fondation de Rome, l’Empire est à son apogée, a connu la révolution industrielle et va de l’Amérique à l’Arabie en passant par l’Afrique du Nord. Aureliano, âgé d’à peine dix-neuf ans, succède à sa mère et devient Empereur. Au même moment, Adaleidis voit son père, un opposant politique, se faire arrêter et décide dès lors de se battre contre l’occupant. Les deux jeunes gens se retrouvent alors opposés, voulant chacun défendre les intérêts de son peuple.
Quatrième de couverture de 2764 ab urbe condita
L’Univers
Mon roman se place donc dans un univers d’uchronie que j’ai voulu développer pour un maximum de détails et de crédibilité. Je me suis d’ailleurs amusée à inventer la langue de l’Empire, le roman, une évolution du latin vulgaire. Il n’y a pas des langues romanes, mais une seule. Du coup, il m’a demandé plusieurs années de recherches.
Où j’en suis
J’ai terminé de l’écrire et il a été bêta-lu, grâce à un forum d’écriture, Cocyclics, qui m’a permis de rencontrer d’autres auteurs. J’approche de la fin des corrections, mais il reste encore du travail : je dois le passer à antidote et effectuer une relecture du texte.